Être coaché.e pour devenir un.e expert.e en lâcher-prise !
Nos vies sont bien occupées, les activités se succèdent, les délais et les urgences requièrent toute notre énergie et notre attention, il semblerait presque abusif de cesser de s’activer, de se soucier, pour lâcher-prise… Dans cette course sans fin, nous déployons toutes nos compétences… jusqu’à l’essoufflement… Il sera essentiel de savoir calmer le jeu, de s’autoriser à se poser, d’apprendre à performer dans le repos, une compétence comme une autre qu’il peut être vitale de développer !
Il est vrai que le coaching est une méthodologie dont la finalité est la mise en action utile, celle qui transforme les choses, qui permet d’évoluer, de progresser, de réaliser ses ambitions. Cette première vision semble ne prôner qu’un activisme sans fin.
Pourtant, n’oublions pas l’incontournable besoin de chacun de souffler, de ralentir, de faire des pauses, ne serait-ce que pour se retrouver, pour intégrer ce qui a été vécu et se remettre à se projeter, à rêver… et aussi, tout simplement, à ne rien faire et goûter à la douceur du temps qui passe
Pour retrouver ce plaisir, sans culpabilité aucune, parfois nous avons besoin d’être accompagné.e, d’être autorisé.e, d’être coaché.e.
Avec mon coach : J’organise une vraie coupure
Je décide que ces vacances seront de vraies vacances : je suspends ma routine mentale, émotionnelle…
Comment couper la sono mentale qui reste branchée sur le canal boulot ou le canal soucis ? Si la rumination mentale était utile, cela se saurait... Mon coach saurait-il m’accompagner à régler le volume une bonne fois pour toute ? (oui !)
Je prends note des soucis qui me préoccupent : ainsi je serai certaine de ne pas les oublier au cas où je me détendrai trop ? (je vous souhaite de trouver un coach qui a de l’humour ;-) Ou alors est-ce que justement les noter me permet de les remettre en perspective, d’en réévaluer la gravité et l’urgence ?
Je cesse de prendre des nouvelles du monde : celles que les médias nous retransmettent sont mauvaises à 99%. Je ne sous-estime pas leur impact sur mon équilibre émotionnel. Juste pour un temps, je me permets de ne plus y accorder d’attention, ne serait-ce que pour relaxer mon empathie naturelle…
Je me prépare à vivre du temps de qualité avec qui m’est cher
Avec qui ai-je vraiment envie de passer du temps ? Quelle compagnie me fait un bien fou, me fait plaisir ?
Je connais des personnes qui sont pleines d’humour : je n’hésite plus, je les invite pour que nous rions ensemble !
Je deviens un leader de positivité : je recentre les conversations sur les projets, les succès de l’année écoulée, sur les ressources et les talents de chacun.
J’interromps les discours critiques contre ma personne, contre les manquements des autres, comme le monde comme il va, vous : pour un temps, je cesse de les autoriser, d’y participer, de les laisser prendre toute la place.
Dans mon foyer, quelles sont les règles minimales que chacun doit respecter pour bien vivre ensemble pendant cette période ? Et je lâche-prise sur le reste !
Je me prépare à vivre du temps de qualité avec moi-même
Je prends rendez-vous avec moi-même. Il sera toujours temps de revenir vers les autres.
Je lis un roman, des manuels de développement personnel, j’écris de la poésie : je me ressource d’art, de rêverie et de philosophie, à ce qui m’inspire.
Si mon cerveau s’active pour remâcher des problématiques qui polluent depuis trop longtemps mon énergie vitale, je les note brièvement : je les traiterai en temps et lieu avec un coach, un professionnel de l’accompagnement qui saura m’aiguiller par ses questions à trouver de vraies réponses, de vraies actions, de vraies résolutions…
Je fais la liste de tous mes petits bonheurs, et chaque jour, j’en recrée un et je le savoure…
Il est nécessaire de faire des pauses. Nous subissons un matraquage de stimuli qui nous épuise, de toute part nous arrivent des injonctions qui nous déstabilisent. La croyance que « faire toujours plus » va permettre d’« être toujours plus » ne se révèle pas si productive. Revenir à soi, ralentir le rythme, se faire le cadeau de reconnaître ses acquis, ses efforts, ses réussites, c’est renouer avec l’amour et le respect de soi, de ses capacités comme de ses limites.
Les coachs ne donnent pas de conseils, ils ne font pas de suggestions, ils n’ont pas de recettes toutes faites qui vous donneraient un accès instantané et privilégié au bonheur de vivre… mais ils vous posent des questions pour explorer ensemble vos conditions de vie, vos contraintes, votre marge de manœuvre… Ils sont formés pour repérer ces croyances limitantes qui vous échapperaient, ils savent aussi faire advenir de nouvelles manières de voir, de penser, de faire… Ils savent aussi que, parfois, pour se traiter bien, nous avons besoin d’y être encouragé.e.s et autorisé.e.s !
Souhaitons-nous de savoir se mettre en vacance de l’esprit, du cœur, du corps, de quoi renouveler notre énergie vitale et l’ampleur de notre envie d’être et de devenir !
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